Il fut un temps où des pianistes d’exception étaient également des compositeurs remarquables mettant leurs phénoménales qualités techniques au service de compositions dont les extravagantes exigences avaient quelque chose de proprement stupéfiant propre à décourager bon nombre de leurs collègues et d’ébahir des auditeurs stupéfaits par une maîtrise qui avait quelque chose de diabolique. On pense bien sûr à Liszt (largement inspiré par Paganini), à Alkan, à Godowsky, à Busoni et, plus récemment, au pianiste américain Earl Wild. (On laissera ici de côté ceux qui, non contents…
Concerts
Romances sans pareilles : Beatrice Rana ensorcelle Bruxelles
Pour son premier récital au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles, Beatrice Rana a proposé au public d’une grande salle Henry Le Boeuf très bien remplie une soirée qu’il n’est pas près