Il fut un temps où des pianistes d’exception étaient également des compositeurs remarquables mettant leurs phénoménales qualités techniques au service de compositions dont les extravagantes exigences avaient quelque chose de proprement stupéfiant propre à décourager bon nombre de leurs collègues et d’ébahir des auditeurs stupéfaits par une maîtrise qui avait quelque chose de diabolique. On pense bien sûr à Liszt (largement inspiré par Paganini), à Alkan, à Godowsky, à Busoni et, plus récemment, au pianiste américain Earl Wild. (On laissera ici de côté ceux qui, non contents…

Concerts
La Troisième de Mahler selon Altinoglu à Bozar : la beauté est de ce monde
Alors que l’Orchestre Symphonique de la Monnaie au grand complet est déjà rassemblé sur le plateau de la grande salle Henry Le Bœuf du Palais des Beaux-Arts et qu’on n’attend plus que