Longtemps mal-aimé (voire à peu près entièrement ignoré hors du Royaume-Uni), le concerto pour violon de Benjamin Britten prend depuis quelque temps la place qui lui revient dans le répertoire, sans doute à la fois parce que c’est l’un des chefs-d’oeuvre du compositeur mais aussi en raison de la nécessité pour les violonistes d’élargir leur répertoire au-delà de la douzaine de concertos à laquelle le public est exposé sans relâche.

Concerts
La Troisième de Mahler selon Altinoglu à Bozar : la beauté est de ce monde
Alors que l’Orchestre Symphonique de la Monnaie au grand complet est déjà rassemblé sur le plateau de la grande salle Henry Le Bœuf du Palais des Beaux-Arts et qu’on n’attend plus que