Longtemps mal-aimé (voire à peu près entièrement ignoré hors du Royaume-Uni), le concerto pour violon de Benjamin Britten prend depuis quelque temps la place qui lui revient dans le répertoire, sans doute à la fois parce que c’est l’un des chefs-d’oeuvre du compositeur mais aussi en raison de la nécessité pour les violonistes d’élargir leur répertoire au-delà de la douzaine de concertos à laquelle le public est exposé sans relâche.

Concerts
Le Falstaff très humain de Laurent Pelly ouvre la saison de La Monnaie
Durant la brève conférence de presse qui précédait la première du spectacle d’ouverture de la saison de La Monnaie, Christina Scheppelmann, la nouvelle intendante du lieu, se présenta brièvement et, forte